PSYCHOGÉNÉALOGIE
Guérir les blessures familiales
et se retrouver soi
PAR ANNE ANCELIN SCHÜTZENBERGER
AUX EDITIONS PAYOT,
PARIS 2009.
DESCRIPTION :
Se réapproprier son histoire personnelle et familiale, mieux s'inscrire dans une lignée et une légende, et mettre de l'ordre dans le « chantier » laissé par nos anciens: tel est l'objet de la psychogénéalogie clinique.
Elle ouvre des possibles : maintenir les loyautés qui nous conviennent; faire émerger tout ce qui a pu être joyeux, honorable, agréable et paisible; déposer le fardeau des erreurs, souffrances, plaies et « fautes » du passé; accepter qu'il peut y avoir, dans notre famille, du mauvais, des hontes et des non-dits, des drames non résolus, des pertes impossibles à admettre - et prendre avec recul tout cela, pour vivre, enfin, sa vie à soi...
Psychothérapeute, groupe-analyste et psychodramatiste de renommée internationale, professeur émérite à l'université de Nice, inventeur du mot « psychogénéalogie », Anne Ancelin Schutzenberger a écrit ce livre comme une suite au célèbre Aïe, mes aïeux!
Elle y aborde l'essentiel de ce qu'il faut savoir sur les loyautés familiales invisibles, le syndrome d'anniversaire, la mémoire du corps, ou encore la meilleure façon de tracer un arbre généalogique signifiant. Elle aide à se poser les bonnes questions pour vivre et non plus survivre, pointe les pièges à éviter, et ouvre le chemin qui permet d'aller butiner dans le jardin familial.
TABLE DES MATIERES :
REMERCIEMENTS
AVANT-PROPOS. Butiner dans le jardin familial
INTRODUCTION. Les faits sont têtus
CHAPITRE PREMIER. Cela va sans dire, et encore mieux en le disant : la communication consciente verbale et l'expression des sentiments, directe ou indirecte
CHAPITRE II. Soyons fidèles à nos ancêtres, mais aussi et surtout à nous-mêmes : les « loyautés familiales» invisibles et inconscientes
CHAPITRE III. Ne répétons pas les erreurs, souffrances et fautes de nos ancêtres, mais sachons que les faits se répètent à des périodes marquantes, souvent significatives : le syndrome d'anniversaire
CHAPITRE IV. De l'importance de terminer ce qui a été commencé : l'effet Zeigarnik
CHAPITRE V. Ce qui ne s'exprime pas en mots s'imprime et s'exprime en maux : le langage du corps et aussi faire savoir sans dire
CHAPITRE VI. Changement et résistance au changement
CHAPITRE VII. À qui, à quoi tient-on vraiment? Les vrais liens
CHAPITRE VIII. Comment faire un génosociogramme
CHAPITRE IX. La vie commence à la conception, dépend de l'environnement familial, de la classe sociale et de l'étiquetage par autrui
CHAPITRE X. Mémoire familiale, oublis et reconstruction
CHAPITRE XI. Quand on travaille seul
CHAPITRE XII. Espace sans danger et sécurité de base
CHAPITRE XIII. Sans place au soleil
CHAPITRE XIV. Quand on n'a pas accès à la mémoire familiale
CHAPITRE XV. Pédagogie blanche, pédagogie noire en héritage, parents toxiques
CONCLUSION. Assumer le fatras familial et choisir sa propre vie
ANNEXES
Guide d'évaluation ou d'autoévaluation du stress d'événements de vie
L'observation fine et « l'intuition» : chance et sérendipité
Inconscient et transfert
L'effet placebo
Psychogénéalogie et travail
La « justice réelle, restauratrice» des Maori
Le triangle pervers, ou l'emprise sur l'autre sous prétexte de l'aider
BIBLIOGRAPHIE
OUTILS GÉNÉALOGIQUES
AUTEUR :
Anne Ancelin Schützenberger est une psychologue française, également psychothérapeute et professeur émérite à l'Université de Nice, où elle a dirigé pendant une vingtaine d'années le laboratoire de psychologie sociale et clinique.
Anne Ancelin Schützenberger est née en 1919.
Elle grandit à Paris (France) où elle y suit ses études des petites classes à l'université : Bac maths et philo, math géné, début d'études scientifiques (suspendues en 1937) puis Licence en Droit, Doctorat en Psychologie et Doctorat ès Lettres.
Pendant la seconde guerre mondiale de 1940-1945, elle participe à la Résistance : sa maison est brûlée par les Allemands le 6 juin 1944 dans le centre de la France, probablement par la division Das Reich.
De 1944 à 1946, elle est secrétaire régionale du M.L.N. pour le Languedoc-Roussillon (Montpellier)
En 1948, elle épouse Marcel-Paul Schützenberger à Londres.
En 1950, elle reçoit une bourse Fullbright pour se spécialiser en psychologie sociale et dynamique des groupes aux États-Unis pendant trois ans.
De 1951 à 1952, elle participe à plusieurs stages à l'Institut Moreno (Beacon, NY).
Elle obtient le diplôme américain "T.E.P" (Trainer Educator and Practitioner) et le diplôme "Director of Moreno Institute".
Elle entreprend à Paris une psychanalyse classique de longue durée avec l'anthropologue Robert Gessain, puis avec Françoise Dolto et se forme :
* au psychodrame avec Moreno (Beacon, New York) et Jim Enneis au St. Elizabeth's Hospital - Washington DC - puis à Paris pendant une année entière, lorsqu'il est venu ensuite y enseigner, invité par Anne en collaboration avec le Pr. Juliette Favez-Boutonnier : travail avec les malades psychotiques et leurs familles (Clinique Femme de l'Hôpital Sainte Anne - Paris),
* à la communication non verbale avec Erwin Goffmann, Shefflen, et Ray Birdwhistell et l'école de Pennsylvanie (USA),
* à la thérapie brève d'urgence avec Diana Everestine,
* à la psychanalyse par Robert Gessain (aussi anthropologue et directeur du Musée de L'Homme à Paris) et Françoise Dolto,
* la group-analyse par Sigmund Heinrich Foulkes (Londres et stages), et Eduardo Cortesão (Lisbonne),
* à la dynamique des groupes par les élèves de Kurt Lewin : Leon Festinger, Ronald et Rosemary Lippitt, Dorwin Cartwright, Alvin Zander (Université du Michigan, Ann Arbor - 1950-1952)
* au T-group (N.T.L. de Bethel - Maine-USA - [Première européenne] - 1951)
Elle travaille avec Carl Rogers, Margaret Mead et Gregory Bateson, et un peu avec le groupe de Palo Alto, Paul Watzlawick, etc.
Elle participe comme stagiaire puis comme chercheur aux recherches du C.E.R.P (Centre d'Études et Recherches Psychotechniques) dépendant du Ministère du Travail (ANIFRMO) et du C.N.R.S
Elle crée avec Gérard Milhaud et quelques étudiants le Bulletin de Psychologie des Étudiants de l'Université de Paris (1947-48), qu'elle avait animé, et dont elle avait assumé les fonctions de rédacteur en chef avec André Kirschen, puis seule jusqu'à son départ en Amérique.
Elle participe à l'organisation du Council pour la création d'une association internationale de psychothérapie de groupe, depuis 1950, puis co-fonde l'Association Internationale de Psychothérapie de groupe (IAGP). Première secrétaire générale, puis vice-présidente, et depuis 2003 "archiviste honoraire".
En 1964, elle organise le "Premier Congrès International de Psychodrame" à la Faculté de Médecine de Paris, avec comme président Paul Sivadon et comme président d'honneur Moreno.
Elle devient à la fois Professeur d'Université (titulaire de chaire et s'occupant d'un laboratoire de recherches), group-analyste et thérapeute de groupe, et aussi consultant pour les Nations Unies.
Dans les années 1970, elle commence à s'intéresser aux méthodes complémentaires de soins aux malades atteints de cancer et d'aide psychologique aux malades et à leurs familles.
En 1985, elle publie "Vouloir guérir" et commence à aider des malades atteints de cancer en phase terminale, dont certains vivent encore. Elle participe à la "Consultation Nationale sur le cancer".
Professeur émérite de l'Université de Nice où elle dirigeait depuis 1967 les recherches du laboratoire de psychologie sociale et psychologie clinique, elle anime depuis des séminaires et des formations à travers le monde dans les cinq continents.
En 2002, elle participe au nouvel "Institut La Source" (Paris, Lausanne, Bruxelles, Sherbrooke au Québec) et elle y enseigne le psychodrame en groupe de longue durée, sous sa propre responsabilité comme formateur international TEP.
Par ailleurs, elle avait créé avec Armelle Thomas Benesse l'École Française de Psychodrame, (administrée par l'I.F.E.P., Paris) Elle continue l'enseignement et le perfectionnement au psychodrame et aux méthodes de groupe.
En 2002, son livre « Aïe mes aïeux ! » devient un best-seller.
En 2004, elle enseigne le transgénérationnel en Australie, Argentine, Suède et Portugal. Elle publie deux nouveaux livres « Le Psychodrame », et avec le Docteur Ghislain Devroede, « Ces enfants malades de leurs parents ».
En 2006, elle diminue ses voyages, cesse d'enseigner à l'Université. Elle étend sa formation sur la clarification des liens transgénérationnels, les secrets de famille, la loyauté familiale invisible et des deuils non faits de pertes diverses personnelles et familiales.
NOTICE :
Titre : Psychogénéalogie
Auteur : Anne Ancelin Schützenberger
Edition : Payot, Paris 2009
Nombre de pages : 285 p.
Format : Broché, 12 x 19,5 x 2 cm
Etat : Cet ouvrage est en bon état.
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Guérir les blessures familiales
et se retrouver soi
PAR ANNE ANCELIN SCHÜTZENBERGER
AUX EDITIONS PAYOT,
PARIS 2009.
DESCRIPTION :
Se réapproprier son histoire personnelle et familiale, mieux s'inscrire dans une lignée et une légende, et mettre de l'ordre dans le « chantier » laissé par nos anciens: tel est l'objet de la psychogénéalogie clinique.
Elle ouvre des possibles : maintenir les loyautés qui nous conviennent; faire émerger tout ce qui a pu être joyeux, honorable, agréable et paisible; déposer le fardeau des erreurs, souffrances, plaies et « fautes » du passé; accepter qu'il peut y avoir, dans notre famille, du mauvais, des hontes et des non-dits, des drames non résolus, des pertes impossibles à admettre - et prendre avec recul tout cela, pour vivre, enfin, sa vie à soi...
Psychothérapeute, groupe-analyste et psychodramatiste de renommée internationale, professeur émérite à l'université de Nice, inventeur du mot « psychogénéalogie », Anne Ancelin Schutzenberger a écrit ce livre comme une suite au célèbre Aïe, mes aïeux!
Elle y aborde l'essentiel de ce qu'il faut savoir sur les loyautés familiales invisibles, le syndrome d'anniversaire, la mémoire du corps, ou encore la meilleure façon de tracer un arbre généalogique signifiant. Elle aide à se poser les bonnes questions pour vivre et non plus survivre, pointe les pièges à éviter, et ouvre le chemin qui permet d'aller butiner dans le jardin familial.
TABLE DES MATIERES :
REMERCIEMENTS
AVANT-PROPOS. Butiner dans le jardin familial
INTRODUCTION. Les faits sont têtus
CHAPITRE PREMIER. Cela va sans dire, et encore mieux en le disant : la communication consciente verbale et l'expression des sentiments, directe ou indirecte
CHAPITRE II. Soyons fidèles à nos ancêtres, mais aussi et surtout à nous-mêmes : les « loyautés familiales» invisibles et inconscientes
CHAPITRE III. Ne répétons pas les erreurs, souffrances et fautes de nos ancêtres, mais sachons que les faits se répètent à des périodes marquantes, souvent significatives : le syndrome d'anniversaire
CHAPITRE IV. De l'importance de terminer ce qui a été commencé : l'effet Zeigarnik
CHAPITRE V. Ce qui ne s'exprime pas en mots s'imprime et s'exprime en maux : le langage du corps et aussi faire savoir sans dire
CHAPITRE VI. Changement et résistance au changement
CHAPITRE VII. À qui, à quoi tient-on vraiment? Les vrais liens
CHAPITRE VIII. Comment faire un génosociogramme
CHAPITRE IX. La vie commence à la conception, dépend de l'environnement familial, de la classe sociale et de l'étiquetage par autrui
CHAPITRE X. Mémoire familiale, oublis et reconstruction
CHAPITRE XI. Quand on travaille seul
CHAPITRE XII. Espace sans danger et sécurité de base
CHAPITRE XIII. Sans place au soleil
CHAPITRE XIV. Quand on n'a pas accès à la mémoire familiale
CHAPITRE XV. Pédagogie blanche, pédagogie noire en héritage, parents toxiques
CONCLUSION. Assumer le fatras familial et choisir sa propre vie
ANNEXES
Guide d'évaluation ou d'autoévaluation du stress d'événements de vie
L'observation fine et « l'intuition» : chance et sérendipité
Inconscient et transfert
L'effet placebo
Psychogénéalogie et travail
La « justice réelle, restauratrice» des Maori
Le triangle pervers, ou l'emprise sur l'autre sous prétexte de l'aider
BIBLIOGRAPHIE
OUTILS GÉNÉALOGIQUES
AUTEUR :
Anne Ancelin Schützenberger est une psychologue française, également psychothérapeute et professeur émérite à l'Université de Nice, où elle a dirigé pendant une vingtaine d'années le laboratoire de psychologie sociale et clinique.
Anne Ancelin Schützenberger est née en 1919.
Elle grandit à Paris (France) où elle y suit ses études des petites classes à l'université : Bac maths et philo, math géné, début d'études scientifiques (suspendues en 1937) puis Licence en Droit, Doctorat en Psychologie et Doctorat ès Lettres.
Pendant la seconde guerre mondiale de 1940-1945, elle participe à la Résistance : sa maison est brûlée par les Allemands le 6 juin 1944 dans le centre de la France, probablement par la division Das Reich.
De 1944 à 1946, elle est secrétaire régionale du M.L.N. pour le Languedoc-Roussillon (Montpellier)
En 1948, elle épouse Marcel-Paul Schützenberger à Londres.
En 1950, elle reçoit une bourse Fullbright pour se spécialiser en psychologie sociale et dynamique des groupes aux États-Unis pendant trois ans.
De 1951 à 1952, elle participe à plusieurs stages à l'Institut Moreno (Beacon, NY).
Elle obtient le diplôme américain "T.E.P" (Trainer Educator and Practitioner) et le diplôme "Director of Moreno Institute".
Elle entreprend à Paris une psychanalyse classique de longue durée avec l'anthropologue Robert Gessain, puis avec Françoise Dolto et se forme :
* au psychodrame avec Moreno (Beacon, New York) et Jim Enneis au St. Elizabeth's Hospital - Washington DC - puis à Paris pendant une année entière, lorsqu'il est venu ensuite y enseigner, invité par Anne en collaboration avec le Pr. Juliette Favez-Boutonnier : travail avec les malades psychotiques et leurs familles (Clinique Femme de l'Hôpital Sainte Anne - Paris),
* à la communication non verbale avec Erwin Goffmann, Shefflen, et Ray Birdwhistell et l'école de Pennsylvanie (USA),
* à la thérapie brève d'urgence avec Diana Everestine,
* à la psychanalyse par Robert Gessain (aussi anthropologue et directeur du Musée de L'Homme à Paris) et Françoise Dolto,
* la group-analyse par Sigmund Heinrich Foulkes (Londres et stages), et Eduardo Cortesão (Lisbonne),
* à la dynamique des groupes par les élèves de Kurt Lewin : Leon Festinger, Ronald et Rosemary Lippitt, Dorwin Cartwright, Alvin Zander (Université du Michigan, Ann Arbor - 1950-1952)
* au T-group (N.T.L. de Bethel - Maine-USA - [Première européenne] - 1951)
Elle travaille avec Carl Rogers, Margaret Mead et Gregory Bateson, et un peu avec le groupe de Palo Alto, Paul Watzlawick, etc.
Elle participe comme stagiaire puis comme chercheur aux recherches du C.E.R.P (Centre d'Études et Recherches Psychotechniques) dépendant du Ministère du Travail (ANIFRMO) et du C.N.R.S
Elle crée avec Gérard Milhaud et quelques étudiants le Bulletin de Psychologie des Étudiants de l'Université de Paris (1947-48), qu'elle avait animé, et dont elle avait assumé les fonctions de rédacteur en chef avec André Kirschen, puis seule jusqu'à son départ en Amérique.
Elle participe à l'organisation du Council pour la création d'une association internationale de psychothérapie de groupe, depuis 1950, puis co-fonde l'Association Internationale de Psychothérapie de groupe (IAGP). Première secrétaire générale, puis vice-présidente, et depuis 2003 "archiviste honoraire".
En 1964, elle organise le "Premier Congrès International de Psychodrame" à la Faculté de Médecine de Paris, avec comme président Paul Sivadon et comme président d'honneur Moreno.
Elle devient à la fois Professeur d'Université (titulaire de chaire et s'occupant d'un laboratoire de recherches), group-analyste et thérapeute de groupe, et aussi consultant pour les Nations Unies.
Dans les années 1970, elle commence à s'intéresser aux méthodes complémentaires de soins aux malades atteints de cancer et d'aide psychologique aux malades et à leurs familles.
En 1985, elle publie "Vouloir guérir" et commence à aider des malades atteints de cancer en phase terminale, dont certains vivent encore. Elle participe à la "Consultation Nationale sur le cancer".
Professeur émérite de l'Université de Nice où elle dirigeait depuis 1967 les recherches du laboratoire de psychologie sociale et psychologie clinique, elle anime depuis des séminaires et des formations à travers le monde dans les cinq continents.
En 2002, elle participe au nouvel "Institut La Source" (Paris, Lausanne, Bruxelles, Sherbrooke au Québec) et elle y enseigne le psychodrame en groupe de longue durée, sous sa propre responsabilité comme formateur international TEP.
Par ailleurs, elle avait créé avec Armelle Thomas Benesse l'École Française de Psychodrame, (administrée par l'I.F.E.P., Paris) Elle continue l'enseignement et le perfectionnement au psychodrame et aux méthodes de groupe.
En 2002, son livre « Aïe mes aïeux ! » devient un best-seller.
En 2004, elle enseigne le transgénérationnel en Australie, Argentine, Suède et Portugal. Elle publie deux nouveaux livres « Le Psychodrame », et avec le Docteur Ghislain Devroede, « Ces enfants malades de leurs parents ».
En 2006, elle diminue ses voyages, cesse d'enseigner à l'Université. Elle étend sa formation sur la clarification des liens transgénérationnels, les secrets de famille, la loyauté familiale invisible et des deuils non faits de pertes diverses personnelles et familiales.
NOTICE :
Titre : Psychogénéalogie
Auteur : Anne Ancelin Schützenberger
Edition : Payot, Paris 2009
Nombre de pages : 285 p.
Format : Broché, 12 x 19,5 x 2 cm
Etat : Cet ouvrage est en bon état.
L'envoi sera rapide, soigné et emballé dans du papier-bulle.
A partir de deux articles achetés, j'offre des réductions de frais de livraison, contactez-moi pour en savoir plus.
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